Je me sens revivre après cette belle aube
Après ces coups de couilles, diantre
La voûte fièrement dégagée le soleil en courbe
Cet azur savoureux éveille des antres
La vie sans des lueurs bleues et des instants douillets
L’histoire serait monotone dégoûtante fauchée ennuyeuse
L’existence sans la contrariété perd sa saveur mielleuse
Des étincelles des banquets, des jouissances et des ballets
Je me sens revivre ces heures perchés
Nos bras entrelacés étreints dans cette haleine
L’air frais qui enfouit nos peines
Je veux te revoir ébattre te débattre contre le plaisir d’un instant
Nos jours n’ont de goût loin des désirs palpitant
A la fin, pas une existence humain sans péchés.
JBEL… Biteng, 31 mars 2018